Le mythe Star Wars : VII, VIII et IX : Disney et l'héritage de George Lucas
Auteur(s)
Thibaut Claudel Editeur(s)
Third éditions Thèmes
Cinéma
Collection
Cinéma
ISBN
2-37784-161-9
978-2-37784-161-5
EANS
9782377841615
Date
Collation
180p. ; 17 x 25 cm ; épaisseur : 1.8 cm ; reliure : Cartonné
N'essaie pas ! Fais-le, ou ne le fais pas ! Il n'y a pas d'essai.
Yoda avait tort. Il n'y a que des essais. Encore plus quand on rachète la plus grande des sagas de l'histoire du cinéma, pour la modique somme de quatre milliards de dollars. Le 30 octobre 2012, Disney s'offrait l'intégralité de Lucasfilm. Mais de toutes les lignes d'un contrat que l'on imagine massif Star Wars était évidemment la plus importante.
Dès janvier 2013, l'ambition de Bob Iger, l'ancien président de The Walt Disney Company, se fait palpable. À n'en pas douter, l'entreprise inaugure ainsi l'un des plus gros chantiers de son histoire et des nouveaux longs-métrages qui resteront entourés de mystère malgré leur ampleur.
Qu'ils soient issus de la nouvelle trilogie, composée du Réveil de la Force, des Derniers Jedi et de L'Ascension de Skywalker, ou de cette fameuse collection de spin-off, aujourd'hui faite de Rogue One : A Star Wars Story et Solo. A Star Wars Story, ces films entretiennent une relation complexe avec les trois premières aventures signées par George Lucas, qui semblent former le mètre étalon de Disney pour sa propre interprétation de la saga.
Alors, comment Disney réinterprète-t-il la trilogie originale dans ses nouveaux films, séries et autres produits dérivés ? En cinq films et des centaines d'oeuvres en tout genre, l'entreprise s'est souvent limitée à la simple imitation. Mais elle a fini par trouver le courage de prolonger avec plus ou moins d'audace l'oeuvre originale, quitte à la réinventer, parfois radicalement. Et c'est ensemble que nous allons explorer les nouvelles histoires, les hybridations, voire les contradictions que Disney a pu créer en se frottant à l'oeuvre de George Lucas.