#5 Les baigneurs à... Lamalou-les-bains

Cinquième épisode de notre série Instagram.

Publié le 19/04/2021

Lamalou-les-Bains, charme et douceur

Les sources de Lamalou sont découvertes au milieu du XVIIème siècle à l’occasion de recherches minières et exploitées à partir du XVIIIème siècle par les seigneurs du Poujol. Lamalou-les-Bains connaît un développement considérable au XIXème siècle : deux nouveaux établissements thermaux (Lamalou-le-Haut puis Lamalou-le-Centre) et plusieurs buvettes voient le jour dans le vallon du Bitoulet. Rendue accessible par le train en 1889, la station s’enrichit de nombreux hôtels et villas, ainsi que d’un casino-théâtre et d’un parc thermal.
Avec le déclin du thermalisme, Lamalou-les-Bains se réoriente à partir de 1950 vers la rééducation fonctionnelle et la traumatologie.

Villa du Dr Ménard
Marc Kérignard © Inventaire général, Région Occitanie
L’hôpital et le Grand Hôtel des bains
© Archives départementales de l’Hérault

Lamalou-les-Bains... entre sources et ressources

Toutes les ressources sur cette ville thermale sont à retrouver sur le site de Ressources Patrimoines en Occitanie et sur Gallica.

Les collections de Gallica vous permettront de vous immerger plus profondément dans le thermalisme et de découvrir le soin par les eaux.

 

Lamalou-les-Bains vue par...

 

Un récit, des fragments, pour une histoire de la douleur de Paul né de Paul.

Colette Mazabrard a grandi en Rhône-Alpes. Elle enseigne les lettres classiques dans un lycée de Toulouse, après les avoir enseignées en région parisienne, puis à New-Delhi, en Inde. Elle n'a jamais cessé de fabriquer ce qu'elle appelle « son petit cinéma », bricolant des montages de textes et d'images, de voix. Elle pratique la photographie argentique, dessine un peu, glane beaucoup. Elle a publié des textes dans des revues de cinéma ("Les Cahiers du cinéma", Vertigo), elle a aussi réalisé des lettres radiophoniques diffusées par Colette Fellous dans ses Carnets nomades sur France-Culture. Elle écrit des textes hantés par les paysages et les marches qu'elle y effectue. Ses livres portent les traces de cette appropriation du monde par la marche, ils gravent les empreintes des images et des voix levées par les pas. Ils en sont le corps.

Retrouvez le récit sur Instagram 

@les_baigneurs_occitanie