PONS EDDIE

Biographie : Né à Carcassonne d’origine espagnole, Eddie Pons publie ses premiers dessins à Barcelone, où il vit au début des années 80, dans "Mundo Diario" et le "Diario de Barcelona". De retour à Nîmes, il poursuit son activité de dessinateur au sein de plusieurs rédactions : "Le Journal de Montpellier", "La Gazette de Montpellier", "L’Indépendant", FR3, "l’Agence de Presse Économique, Midi Libre, La Marseillaise" et "Cote" à Marseille, "Panorama Internacional" à Madrid et "L’Usine Nouvelle" à Paris, "Plaza" et "le Paysan du Midi". Ses illustrations figurent également dans les publications de nombreuses institutions. Il est l’auteur de "Pastis de muerte à la Feria" (éditions Corrida, 1985) ; "Petit nécessaire de toilette à l’usage de ceux qui s’astiquent avant la corrida" (Espace Sud, 1991) ; "Nîmes, en long, en large et en travers" (Deux points ouvrez les guillemets, 2004). Il publie aux éditions Au diable Vauvert en 2007 "Scènes d’Arènes", vingt ans de dessins taurins, et en 2008 un album consacré au Cigare et préfacé par Wolinski : "Tout et n’importe quoi sur le Cigare". Il est également réalisateur de courts-métrages : "Don Luis" en 1989 ; "La Mort du torero", Prix spécial du Festival Méditerranéen de Montpellier en 1991 ; "Le Matador Paroxystique" en 1994 ; mais aussi de documentaires : "La Bodega Bohemia" en 1992, "À l’Ombre du grand Pont" en 2001 et "Éclats de Feria, mémoires de Nîmes" en 2002. Bibliographie non exhaustive : Je colorie Nîmes romaine, éd. Atelier baie, 2019 (coloriage). Le petit livre jaune, éd. Au diable Vauvert, 2016 (essai). Petit nécessaire de toilette : à l’usage de ceux qui s’astiquent avant la corrida, texte Jacques Durand, éd. Espace Sud, 2011, rééd. Au diable vauvert, 2012 (album). Scènes d’arènes, éd. Au diable vauvert, 2007, 2011 (album). Morantissime de la Puebla, texte Jacques Durand, dithyrambes Fernando Arrabal, illustrations Hélène Arnal, Stéphanie Nicolas, Eddie Pons, photographies Stéphane Barbier, François Bruschet, Bruno Doan, André Hampartzoumian, éd. Atelier Baie, 2010 (beau livre). Le Gard : illustré en long, en large... et en travers, éd. Atelier Baie, 2010 (album). Tout et n’importe quoi sur le cigare, éd. Au diable vauvert, 2008 (album). Nîmes en long, en large et en travers, éd. Deux points ouvrez les guillemets, 2004 (album). Pastis de muerte à la Feria, éd. Corrida, 1985 (album). Extrait : Moins connu, mais ça fait tellement plus sérieux, sous le nom de "phœnicopterus ruber", le flamant rose vit dans certaines régions d’Afrique, en Asie du Sud-Ouest et en Europe méditerranéenne : en Espagne et en… Camargue ! ATTENTION ! Le flamant rose n’est pas le produit d’un coupage entre le flamant rouge et le flamant blanc. Il obtient la couleur rose de son plumage en ingérant des crustacés, notamment l’artémia, particulièrement riche en carotène. Le plancton, vers, mollusques, crevettes et larves d’insectes complètent ses repas…